dimanche 21 mars 2010

Le Coiffure-Blues

Si toi aussi tu connais ce problème, une thérapie de groupe peut être mise en place via les commentaires.

Tu te rappelles qu’à chaque fois que tu sors d’un salon, tu es déçu(e), désespéré(e), fauché(e) et tu te dis : « je ne suis pas prêt(e) d’y retourner ! » ? C'est le "coiffure-blues". Illustration.

Une grande (ou petite) occasion approche.
Tu vois ta tête dans le miroir, tu te dis : « c’est plus possible ».
Alors tu te jettes à l’eau, et tu retournes sur le fauteuil.

Au début ça se passe bien, ton interlocuteur semble avoir compris ce que tu demandes.
On ne veut pas forcément être plus beau en sortant : on voudrait juste ne pas être plus moche qu’en entrant.

Clac clac, tes cheveux commencent à tomber en tas.
A cet instant, tu te dis : « ça va encore ».
C’est vrai qu’à la mi-temps, t’es encore pas mal.

Mais juste après, c’est le drame : reprise des ciseaux pour ‘rectifier deux ou trois mèches’.
C’est la moitié de ta chevelure qui y passe, généralement avec un magnifique dénivelé entre le côté droit et le côté gauche, et c’est le moment que choisit le coiffeur pour te lancer le célèbre : « ça vous change ! ».


A part citer Balavoine (qui dans la même chanson dit "court bien trop court" puis "et pourtant il faut vivre ou survivre"), je concluerai ces développements sur le coiffure-blues par un message d'espoir : les cheveux, ça repousse.

samedi 13 mars 2010

Le Temps Qui Passe...





Carte postale du temps qui passe...